Articles de Blog 

      Bien-être | Magnétisme | Programmation Neuro Linguistique| Développement personnel 

Arrêter de fumer : pourquoi c'est si difficile et comment reprendre le pouvoir? 

🌀 Arrêter de fumer : pourquoi c’est si difficile… et comment reprendre le pouvoir?

Fumer n’est pas qu’une histoire de dépendance physique. C’est aussi un geste, une habitude, parfois une béquille émotionnelle. Derrière la cigarette, il y a souvent autre chose : stress, anxiété, solitude, besoin de contrôle, ou même un moment de "pause" que l’on s’accorde.

🔁 Une habitude profondément ancrée

On allume une cigarette après le café, en voiture, après une dispute, ou quand on s’ennuie. Le cerveau associe la cigarette à des "récompenses", et ce conditionnement rend l’arrêt complexe.

🧠 L’émotionnel, souvent oublié

Beaucoup de personnes pensent que c’est uniquement une question de volonté. Mais en réalité, il y a parfois un attachement émotionnel à la cigarette. Elle apaise, elle rassure… même si ce soulagement est illusoire.

🧭 Reprogrammer, petit à petit

C’est là que des approches comme la PNL ou le magnétisme peuvent aider à :

Identifier ce que représente vraiment la cigarette dans la vie de la personne.

Travailler sur les émotions sous-jacentes.

Créer de nouveaux automatismes plus sains.

Mais ce qui compte, c’est le moment. L’arrêt ne se force pas. Il se choisit, en conscience.

🌱 En conclusion

Si tu lis cet article, c’est peut-être que l’idée d’arrêter commence à faire son chemin. Prends le temps de t’écouter. Chaque étape est une victoire, même celle de réfléchir à ce que la cigarette t’apporte.

Tagline

Pourquoi on somatise? 

On a tous déjà eu mal au ventre avant un examen, une boule à la gorge pendant une dispute, ou des tensions dans les épaules après une journée difficile.
Et si ces sensations n’étaient pas là par hasard ?
Et si, parfois, le corps parlait à la place de notre mental ?

🔸 La somatisation, c’est quoi ?

Le mot somatiser vient du grec soma, qui signifie « le corps ».
Somatiser, c’est exprimer une émotion ou une tension psychique à travers le corps, souvent de manière inconsciente.
Autrement dit, ce qu’on ne dit pas avec des mots, le corps le manifeste en maux.

Il ne s’agit pas d’inventer des douleurs : elles sont bien réelles.
Mais leur origine n’est pas forcément physique.
Elles peuvent venir d’un trop-plein émotionnel, d’un stress ancien, ou d’un conflit intérieur non résolu.

🔸 Pourquoi ça arrive ?

Nous vivons dans une société où l’on nous apprend souvent à « gérer » nos émotions, c’est-à-dire… à les taire.

Ne pas pleurer.

Ne pas se mettre en colère.

Ne pas trop se montrer fragile.

À force de contenir, de faire comme si tout allait bien, le corps prend le relais.
Il devient un messager silencieux qui cherche à faire entendre ce que le mental refoule.

🔸 Des exemples concrets

Gorge nouée = quelque chose qu’on n’arrive pas à dire

Douleurs dorsales = sensation de tout porter sur ses épaules

Troubles digestifs = incapacité à “digérer” une situation

Fatigue persistante = surcharge émotionnelle ou mentale

Problèmes de peau = rejet, hypersensibilité, besoin de protection

Ces manifestations sont très personnelles. Il n’y a pas de règle figée. Mais souvent, elles ont un sens.

🔸 Le corps n’est pas l’ennemi

Il n’essaie pas de nous piéger.
Il attire notre attention sur ce qu’on évite de regarder.
Plutôt que de le faire taire à tout prix, on peut essayer d’écouter :

« Qu’est-ce que mon corps essaie de me dire ? »

Parfois, cette simple question peut déjà apaiser.

🔸 En conclusion

La somatisation ne veut pas dire que « c’est dans la tête ».
Elle nous rappelle que tout est lié : notre vécu, nos émotions, notre corps.

Apprendre à reconnaître les signaux du corps, à accueillir ce qui se joue à l’intérieur, c’est déjà un premier pas vers un mieux-être plus durable.

Tagline

Pourquoi répète-t-on toujours les mêmes schémas ? (et comment en sortir)

🌀 Revivre encore et encore la même histoire.
Attirer le même type de relation.
Te retrouver dans des situations similaires, malgré tous tes efforts pour faire autrement.
Comme si quelque chose te ramenait toujours au même endroit, sans que tu comprennes pourquoi.

🔸 Ce n’est pas de la malchance

Ces répétitions ne sont pas un hasard, ni un manque de volonté.
Elles viennent souvent de mécanismes inconscients, installés depuis longtemps.

Dès l’enfance, on apprend ,  parfois sans s’en rendre compte  à fonctionner d’une certaine façon :

Pour être aimé(e), il faut que je sois sage.

Il faut faire plaisir pour être accepté(e).

Mieux vaut ne rien dire que d’entrer en conflit.

L’amour, c’est souffrir un peu…

Ces croyances, ces réflexes émotionnels, deviennent des automatisme profonds.
Et on les rejoue, même quand ils ne nous conviennent plus.

🔸 Pourquoi le cerveau rejoue ce qu’il connaît

Le cerveau humain aime ce qui est prévisible.
Même si une situation est douloureuse, elle est connue, donc rassurante à un certain niveau.
Changer, c’est entrer dans l’inconnu. Et l’inconnu fait peur.

Alors on retourne, presque malgré soi :

Vers des relations déséquilibrées

Vers des situations où l’on s’oublie

Vers un rôle qu’on connaît bien, même s’il nous pèse

🔸 Comment en sortir (doucement)

Sortir d’un schéma, ce n’est pas le casser de force.
Ce n’est pas “se forcer à changer”.

C’est plutôt :

En prendre conscience, sans jugement

Identifier le message ou le besoin caché derrière ce schéma

Trouver d’autres manières de répondre à ce besoin, plus justes, plus alignées

Parfois, juste réaliser que "ce n’est pas moi, c’est un vieux mécanisme" suffit à enclencher le mouvement.

🔸 En conclusion

On ne répète pas parce qu’on est faible, mais parce qu’on a appris à faire au mieux, à survivre, à se protéger.

Changer un schéma, ce n’est pas devenir une autre personne.
C’est se retrouver.
C’est enlever les couches qu’on a portées trop longtemps, sans même s’en rendre compte.

Et ça peut commencer par une simple question :

Est-ce que cette situation me ressemble… ou est-ce juste ce que j’ai toujours connu ?

Tagline

Faut-il croire au magnétisme pour que ça marche ?

 

C’est une question qui revient souvent.
Certaines personnes viennent à une séance en étant convaincues, d’autres par curiosité, et parfois… avec une bonne dose de scepticisme.

Alors, faut-il y croire pour que ça fonctionne ?
La réponse est plus nuancée qu’un simple oui ou non.

🔸 Ce n’est pas une affaire de croyance

Le magnétisme n’est ni une religion, ni une magie, ni un pouvoir.
C’est un travail énergétique, basé sur le ressenti, l’intention, et l’écoute subtile du corps et de l’être.

Il ne s’agit pas de “croire” comme on croit à quelque chose d’irrationnel.
Il s’agit plutôt d’accueillir l’expérience, sans forcément tout comprendre avec le mental.

🔸 Le corps, lui, ne ment pas

Même une personne sceptique peut ressentir :

Une chaleur ou un apaisement

Une grande fatigue suivie d’un mieux-être

Une émotion qui remonte

Une sensation de légèreté ou de calme profond

Le corps réagit, que le mental y “croie” ou non.
Ce qui peut faire la différence, ce n’est pas la croyance, mais l’ouverture.
Être dans une posture d’accueil, même prudente, suffit souvent.

🔸 Ce que le magnétisme ne fait pas

Le magnétisme ne remplace pas un traitement médical.
Il n’agit pas sur commande.
Il ne promet pas de miracles.

Mais il peut accompagner, soulager, apaiser, libérer…
Il agit là où c’est juste pour la personne, à ce moment précis.

🔸 En conclusion

On n’a pas besoin d’être convaincu pour venir.
On peut venir avec des questions, des doutes, ou juste une envie d’essayer.

Le magnétisme n’a pas besoin qu’on y “croie” pour agir.
Il a juste besoin d’un corps, d’une présence, et d’une ouverture, même légère.

Tagline

Pourquoi tu ressens les émotions des autres? 

Je ressens les émotions des autres : est-ce normal ?

Tu entres dans une pièce et tu ressens tout de suite l’ambiance.
Quelqu’un va mal, tu le sens sans qu’il parle.
Parfois, tu t’alourdis d’un coup, sans savoir pourquoi… jusqu’à ce que tu comprennes que ça ne t’appartient pas.

Bienvenue dans le monde des personnes hypersensibles ou “éponges émotionnelles”.
Et oui, tu n’es pas seul(e) à ressentir tout ça.

🔸 Être sensible à l’invisible

Certaines personnes perçoivent les émotions autour d’elles de manière très fine.
Un regard, une voix, une tension dans l’air suffisent à déclencher une réaction intérieure : boule au ventre, gorge serrée, larmes aux yeux… sans que rien ne soit dit.

Ce n’est pas de la magie, ni une faiblesse.
C’est une hypersensibilité émotionnelle qui peut venir d’un vécu, d’un environnement familial, ou parfois simplement d’une prédisposition naturelle.

🔸 Quand l’émotion de l’autre devient la tienne

Le vrai défi, ce n’est pas de ressentir.
C’est de savoir ce qui t’appartient… et ce qui ne t’appartient pas.
Car petit à petit, sans t’en rendre compte, tu peux :

Te sentir épuisé(e) après certaines rencontres

Absorber les peurs ou colères d’autrui

Ressentir une tristesse qui n’a rien à voir avec ta vie

T’adapter aux autres au point de t’oublier

Cela peut générer de la fatigue, de l’anxiété, et une forme de perte d’identité.

🔸 Ce n’est pas une fatalité

Ressentir fort, c’est une richesse. Mais pour que ça ne devienne pas un fardeau, il est essentiel de :

Se recentrer régulièrement (méditation, respiration, ancrage…)

Prendre du recul émotionnel sans se couper

Apprendre à dire non

Se poser souvent cette question :

« Est-ce que cette émotion est vraiment la mienne ? »

🔸 En conclusion

Être sensible aux émotions des autres n’est pas un défaut.
Mais c’est une invitation à poser des limites saines, à se connaître profondément, et à ne pas porter ce qui ne nous appartient pas.

Il est possible d’apprendre à ressentir sans absorber, à écouter sans s’effondrer, à accompagner sans se perdre.

Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions

Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez consulter les détails dans la politique de confidentialité et accepter le service pour voir les traductions.